CHIRURGIE AMBULATOIRE : Le plus dur reste à faire !
Le Concours Médical, février 2018
Malgré une activité croissante de chirurgie ambulatoire depuis 2015, le secteur public reste en retard par rapport au secteur privé (qui, contraint par les fermetures de lit, l’a développée dès 1990) selon la Cour des comptes. L’écart, qui ne s’explique pas seulement par la plus grande sévérité des cas pris en charge, tend même à augmenter (17 % en 2011, 18 % en 2015), rapporte Frédéric Bizard, économiste de la santé, qui a mené une étude pour huit URPS(1). Le potentiel de développement est donc plus important dans le public, selon Gilles Bontemps(2) [directeur de mission à la Cnam], qui, pour agir « sur les 3,3 millions d’interventions pour lesquelles le taux de chirurgie ambulatoire n’est que de 3 % »,......
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Le Concours Médical, février 2018
Malgré une activité croissante de chirurgie ambulatoire depuis 2015, le secteur public reste en retard par rapport au secteur privé (qui, contraint par les fermetures de lit, l’a développée dès 1990) selon la Cour des comptes. L’écart, qui ne s’explique pas seulement par la plus grande sévérité des cas pris en charge, tend même à augmenter (17 % en 2011, 18 % en 2015), rapporte Frédéric Bizard, économiste de la santé, qui a mené une étude pour huit URPS(1). Le potentiel de développement est donc plus important dans le public, selon Gilles Bontemps(2) [directeur de mission à la Cnam], qui, pour agir « sur les 3,3 millions d’interventions pour lesquelles le taux de chirurgie ambulatoire n’est que de 3 % »,......
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